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Les 10 entreprises où les étudiants en école de commerce rêvent le plus de travailler

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Le cabinet d'études international Universum a, comme chaque année, sorti son classement des employeurs les plus attractifs d'Europe.

Universum a sondé 192 000 étudiants en école de commerce tout autour du globe et leur a demandé de classer les entreprises dans lesquelles ils rêveraient le plus de travailler.

Les résultats ne sont pas tous surprenants, mais il y a quelques firmes qui ne respirent pas d'emblée le "job de rêve."

D'autres sociétés comme Facebook ou Apple — qui apparaissent souvent dans ces classements — sont absentes.

Les "Big four" — les quatre plus grands groupes d'audit financier dans le monde — KPMG, Deloitte, Ernst & Young, et PwC — sont tous dans la liste.

10. Goldman Sachs

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La tour Goldman Sachs ©Flickr/CC/Erik Drost

Goldman Sachs est spécialisé dans l'investissement global et dans d'autres services financiers. La banque a ses quartiers généraux dans le sud de Manhattan et a des filiales partout dans le monde. La banque emploie environ 34 000 personnes dans le monde.

9. McKinsey & Company

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C'est facile de comprendre pourquoi les jeunes veulent travailler là-bas. Beaucoup d'anciens employés sont connus pour avoir réalisé de grandes choses par la suite. Dans le top des 500 patrons les mieux payés, il y a plus d'anciens employés de McKinsey que n'importe quelle autre boîte. Notamment : le DG de Google Sundar Pichai, Sheryl Sandberg de Facebook ou James P. Gorman de Morgan Stanley.

8. Deloitte

L'entreprise, membre des "Big Four", est basée à New York et fait partie des destinations prisées de milliers de diplômés. C'est le deuxième plus grand cabinet d'audit au monde.

7. Unilever

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©Unilever

Unilever est propriétaire de 400 entreprises qui emploient environ 170 000 personnes. La firme spécialisée dans l'agroalimentaire est gérée depuis les Pays-Bas (Rotterdam) et le Royaume-Uni (Londres). Ils produisent de la nourriture, des boissons, des produits ménagers et hygiéniques.

6. KPMG

KPMG est un réseau de firmes spécialistes dans l'audit, la fiscalité et le conseil. Il emploie plus de 170 000 personnes. Il fait partie des "Big Four."

5. Ernst & Young

Les quartiers généraux de Ernst & Young sont situés à Londres. Les débuts de la firme peuvent être retracés en 1849 avec la création de Harding & Pullein en Angleterre. Ernst & Young vient de la fusion entre Ernst & Whinney et Arthur Young & Co. en 1989. La société compte aujourd'hui plus de 210 000 employés et 700 bureaux à travers le monde.

4. PricewaterhouseCooper

Ce n'est pas une surprise que tant de diplômés d'écoles de commerce veuillent travailler chez PwC. Vault Accounting 50 l'a classée "société de conseil la plus prestigieuse au monde" sept ans d'affilée. Elle est implantée dans 157 pays, a 756 bureaux et plus de 208 000 employés.

3. Microsoft

Les employés de Microsoft trouvent que l'entreprise est très flexible — plus de 40% des employés disent avoir déjà pu travailler depuis la maison, d'après PayScale. La multinationale est une des plus réputées dans le monde.

2. Le groupe L'Oréal

L'Oréal est l'entreprise de cosmétique la plus grande au monde. Son siège est à Clichy, Hauts-de-Seine, avec un bureau à Paris. Le groupe vieux de 107 ans a fait 22 milliards de chiffre d'affaire en 2015.

1. Google

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© Google

Google est connu pour offrir beaucoup d'avantages à ses employés (buffet gourmet, service informatique ouvert 24/24, massages sur place, cours de fitness, chèques vacances généreux).

Joao Araujo, manager à Universum, nous a dit par mail :

"Google met un point d'honneur à n'ignorer aucun étudiant" pour trouver des talents. Cette approche a permis à Google d'avoir des employés plus divers, qui ont des points de vue et des idées différentes, et qui sont généralement ignorés par les grands groupes de la taille de Google."

Version originale : Business Insider / Charles Clark

 

Lire aussi : TOP: les 100 marques les plus puissantes au monde

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GOLDMAN SACHS: 4 transitions clés à surveiller en 2017

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Un trader de Goldman Sachs au New York Stock Exchange (NYSE). REUTERS/Lucas Jackson

Un trader de Goldman Sachs au New York Stock Exchange (NYSE). REUTERS/Lucas Jackson

Alors que l'année 2016 approche de sa fin, le département asset management de Goldman Sachs a publié ses prévisions pour l'économie mondiale et les marchés financiers en 2017.

L'entreprise semble plutôt optimiste pour la reprise de la croissance mondiale et parie sur la poursuite d'un long cycle de développement économique en 2017. "Nous pensons que la croissance va gagner davantage de pays et l'économie mondiale sera soutenue par plus de forces qu'on ne l'avait constaté depuis 2010", indique le rapport prévisionnel.

Goldman Sachs recommande aussi "d'élargir l'exposition au-delà des actions et obligations conventionnelles".

Surtout, la banque a identifié 4 transitions économiques à surveiller en 2017. Nous les avons listées ci-dessous avec le commentaire de Goldman Sachs.

1. Du mondialisme au populisme

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Les événements politiques clés à suivre en 2017. Goldman Sachs

Goldman Sachs estime que "la plus importante transition dans l'environnement actuel" est un éloignement du "mondialisme, qui a apporté davantage de flux transfrontaliers de biens et de personnes". "Après des années de croissance économique molle et un accroissement des inégalités, l'adhésion pour des partis avec des messages populistes — souvent focalisés sur une fiscalité allégée, une réforme de l'immigration et/ou une politique commerciale protectionniste — n'a cessé de progresser au fil des dernières années."

Pour Goldman Sachs, ce mouvement a déjà remporté "deux victoires majeures en 2016": le vote en faveur du Brexit au Royaume-Uni et l'élection de Donald Trump aux Etats-Unis. 

"En 2017, nous allons surveiller de près la vigueur de cette tendance populiste en raison de son impact potentiel sur l'Europe et d'une probabilité plus élevée de politiques commerciales protectionnistes."

2. De la stagnation à l'inflation

Goldman Sachs

Les prix du pétrole pourraient participer à la relance s'ils se stabilisent. Goldman Sachs

Après un temps de faible inflation et de croissance symbolique, les attentes sont relevées pour ces deux pôles, note Goldman Sachs. "Avec un marché de l'emploi qui se crispe, un boost sur les effets de base du au prix de l'énergie et des perspectives fiscales plus inflationnistes, l'attente en matière de prix et d'inflation a déjà été significativement relevée."

3. De la politique monétaire à la politique fiscale

Goldman Sachs

Infrastructure globale: de nombreuses variables vont déterminer qui en profitera potentiellement. Goldman Sachs

"Nous voyons une divergence de politique monétaire arriver à de nouveaux extrêmes. Nous pensons que la Fed pourrait relever ses taux d'intérêt au moins deux fois, tandis que la BCE et la Banque du Japon étireront jusqu'au bout leurs capacités de détente quantitative", estime Goldman Sachs.

Avec des croissances balbutiantes des deux côtés de l'Atlantique, la politique de relance passera plutôt par la fiscalité, "à la fois pour compenser des années d'austérité douloureuse et par reconnaissance d'un besoin de rénover les infrastructures". "Cette transition est importante à surveiller car elle pourrait déboucher sur un meilleur équilibre politique pour soutenir la croissance et les résultats financiers des entreprises, ou bien faire grimper la dette et l'inflation et déclencher plus de volatilité sur les marchés matures ou émergents". 

4. De la régulation à la dé-régulation

Goldman Sachs

La régulation est l'une des préoccupations principales des PME américaines. Goldman Sachs

"Les perspectives en matière de dépenses fiscales ont retenu beaucoup d'attention, mais le potentiel d'une dé-régulation pourrait avoir plus d'impact sur la croissance et les marchés en 2017. Aux Etats-Unis, les changements de régulation proposés par Donald Trump visent à améliorer l'accès au capital et à réduire les barrières à l'entrée de la création d'entreprise. En Europe, l'adhésion d'entreprises au Brexit était motivée par leurs craintes d'une régulation excessive, et les institutions financières européennes ont commencé à s'opposer aux mesures réglementaires de l'après-crise. Pendant ce temps, la Chine continue de chercher le bon mix de régulation et de politique de relance pour faire avancer des réformes structurelles tout en maintenant sa croissance économique. Par conséquent, nous surveillerons les divergences réglementaires dans l'économie mondiale et le potentiel d'une dé-régulation compétitive", note Goldman Sachs.

Version originale: Prashanth Perumal/Business Insider

Lire aussi : Voici les événements imprévisibles qui représentent un risque pour les marchés financiers mondiaux

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Il y a une raison simple pour laquelle les 4 grandes banques françaises sont absentes du Top 20 des banques conseil en M&A

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Société générale

REUTERS/Gonzalo Fuentes

En matière de fusions et acquisitions (M&A), les banques françaises peinent à se hisser dans le peloton de tête alors que la taille de leur bilan et leur présence à l'international pourraient justifier une influence plus significative.

Selon les données de Thomson Reuters pour 2016, aucune des quatre grandes banques françaises ne figure parmi les 20 premières banques conseil en M&A dans un classement mondial largement dominé par les groupes américains. Seule la banque d'affaires indépendante Rothschild figure à la 13e place.

Même constat sur le marché européen, leur terrain de prédilection: elles ne figurent pas non plus cette année dans le Top 20 des banques conseil, selon ces mêmes données.

Pourtant, d'autres banques européennes comme l'allemand Deutsche Bank et les suisses UBS et Credit suisse dont les modes de fonctionnement sont d'ailleurs proches des modèles anglo-saxons, continuent à tirer leur épingle du jeu.

"Ce ne sont pas les moyens financiers, les équipes ou les implantations des banques françaises qui expliquent ces classements. La raison vient plus, selon moi, de leurs relations et réseaux d'influence à l'international", souligne un consultant spécialisé en M&A qui n'a pas souhaité être cité.

"Aux Etats-Unis par exemple, il est important d'avoir des réseaux au sein de certaines instances de régulation. C'est pourquoi les entreprises privilégient les banques anglo-saxonnes, et surtout américaines, pour leurs opérations de M&A."

Lâchées par Danone et Sanofi

Les choix récemment opérés par Danone et Sanofi dans leur offensive ou tentative d'offensive outre-Atlantique sont sans appel: aucune banque française n'est présente.

Pour le rachat de WhiteWave Foods, Danone a pris comme conseil Lazard tandis que Sanofi s'est entouré de Goldman Sachs et de Morgan Stanley pour sa tentative manquée d'OPA sur Medivation, selon les données Thomson Reuters.

A la date du 20 décembre, la Société générale, qui a conseillé l'américain FMC pour le rachat de Technip , ressort en Europe à la 23e place avec un volume de transactions de près de 39 milliards de dollars, et Crédit agricole à la 24e (37,4 milliards de dollars).

BNP Paribas, qui avait terminé 2015 à la 10e place en Europe après avoir fait partie des conseils d'Anheuser-Busch InBev pour l'acquisition de SABMiller pour quelque 110 milliards de dollars, se classe cette année 26e.

Les groupes américains Goldman Sachs, JPMorgan et Morgan Stanley continuent de tenir le haut du pavé tandis que les banques d'affaires indépendantes Lazard et Rothschild se distinguent, en se classant respectivement 5e et 6e.

"Il est dans nos axes stratégiques de gagner des parts de marché en banque d'investissement en dehors de France même s'il est vrai que notre cœur de marché reste l'Europe continentale", a déclaré à Reuters Sophie Javary, responsable du "Corporate Finance" chez BNP Paribas pour la région Europe, Moyen-Orient, Afrique (EMEA).

La banque française explique qu'elle entend continuer d'investir en Allemagne, en Grande-Bretagne, dans les pays scandinaves, ainsi qu'aux Etats-Unis où des annonces sont prochainement prévues.

Impact du Brexit au Royaume-Uni

En Grande-Bretagne, où BNP Paribas a pâti cette année d'une base de comparaison défavorable avec 2015 du fait notamment de la fusions InBev-SABMiller, la banque de la rue d'Antin compte néanmoins se renforcer même si l'impact du référendum sur le 'Brexit' s'est fait ressentir sur le marché du M&A où les transactions ont chuté de 58% en volume à 162 milliards de dollars.

Londres, City,

Des gens qui travaillent dans la City de Londres, se pressant pour aller au travail. REUTERS/Toby Melville

"Nous allons continuer à investir en Grande-Bretagne pour renforcer nos activités de conseil en M&A", souligne Eric Jacquemot, responsable du "Corporate Finance" chez BNP Paribas pour la Grande-Bretagne. "Depuis le 1er septembre, nous avons une équipe de 15 collaborateurs dédiée au marché britannique et deux recrutements de banquiers senior sont prévus en 2017. Nous procédons aussi à un recrutement en ECM (Equity capital market)."

La banque relève également qu'en 2016, le marché britannique s'est caractérisé par de nombreuses transactions entre les Etats-Unis et la Grande-Bretagne pour lesquelles les entreprises ont préféré mandater des banques britanniques et américaines.

BNP Paribas rappelle aussi qu'elle a conseillé EDF pour son projet de construction de deux réacteurs nucléaires de type EPR à Hinkley Point en Grande-Bretagne dont une partie sera financée par des capitaux chinois. Ce projet n'est toutefois pas intégré dans les données de Thomson Reuters.

En Allemagne, qui est un marché stratégique pour BNP Paribas dans la BFI, la banque française a en revanche gagné 23 places après avoir notamment conseillé Valeo pour le rachat de l'allemand FTE.

En Espagne, elle se hisse sur la deuxième marche du podium (+15 places) juste derrière Goldman Sachs

Lire aussi : GOLDMAN SACHS: 4 transitions clés à surveiller en 2017

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Goldman Sachs pense que le Royaume-Uni perdra ses droits liés au passeport financier après le Brexit

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REUTERS/Francois Lenoir

REUTERS/Francois Lenoir

Goldman Sachs s'attend à ce que le Royaume-Uni perde ses droits rattachés au passeport financier après le Brexit. 

La banque d'investissement en a fait part dans sa dernière note envoyée à ses clients lundi 19 décembre 2016: "A terme, nous nous attendons à ce que les négociations aboutissent à un accord commercial de libre échange entre l'Union européenne et le Royaume-Uni qui s'applique aux biens, mais pas aux services, et une perte des droits rattachés au passeport financier au Royaume-Uni". 

Si le Royaume-Uni perdait son passeport financier européen, toute l'industrie des services financiers serait bouleversée. En effet, le passeport européen permet à une société de gestion, ayant obtenu un agrément par l’autorité de son pays d’origine, d‘exercer ses activités dans toute l’Union européenne. Les entreprises sont soumises à la régulation d'un seul pays et pas à celles de tous les pays dans lesquelles elles opèrent.

JP Morgan et UBS ont toutes les deux publiquement averti qu'elles devront transférer des emplois ailleurs en Europe si le Royaume-Uni perdait le passeport financier. De même, Goldman Sachs serait en train de préparer le transfert de 2.000 emplois sur le continent si ces droits étaient perdus. 

5.500 entreprises avec un chiffre d'affaires cumulé de 9 milliards de livres (soit 10,7 milliards d'euros) dépendent du passeport financier au Royaume-Uni, selon l'Autorité de bonne conduite financière (FCA). Cependant, un rapport de la Chambre des Lords concernant le potentiel impact du Brexit sur les services financiers publié la semaine dernière a signalé que le fait que les services financiers soient interconnectés au Royaume-Uni signifiait que beaucoup d'entreprises dépendaient des droits du passeport financier européen sans même le savoir. 

Le président de HSBC Douglas Flint a déclaré à la commission: "Tout le monde est affecté par les droits liés au passeport financier à un degrés plus ou moins important." Une étude estime que 13.500 entreprises au Royaume-Uni dépendent de ces droits. 

Le Royaume-Uni pourrait perdre ce passeport financier dans la mesure où le gouvernement a pour priorité de contrôler l'immigration dans le cadre des négociations concernant le Brexit. Or, des représentants européens ont dit à plusieurs reprises que le Royaume-Uni ne pouvait avoir accès au marché unique qu'à condition de respecter les "quatre libertés" de l'Union européenne — la libre circulation des capitaux, des biens, des services et des personnes dans les 27 pays de l'Union. 

Version originale: Oscar Williams-Grut/Business Insider UK

Lire aussi : L'Europe va facturer 50 à 60 Mds € au Royaume-Uni dès que le processus du Brexit sera lancé

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Goldman Sachs écrase la concurrence dans une activité emblématique

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Goldman Sachs, Lloyd Blankfein

Lloyd Blankfein, PDG de Goldman Sachs. John Moore/Getty Images

L'année 2016 touche bientôt à sa fin et c'est donc la période où sortent tous les classements. 

Et, oui, les banques de Wall Street se soucient beaucoup de leur place par rapport à celle de leurs concurrents. Elles mettent en avant le classement de chacune de leur activité en haut de résultats. Leur note apparaît également sur nombre de leurs présentations commerciales. 

En fusions-acquisitions (M&A), il y a clairement un vainqueur. Et de loin. Goldman Sachs devance largement ses concurrents et devrait finir l'année 2016 en tête des classements des tailles d'opérations et des honoraires. Aussi bien au niveau mondial, qu'aux Etats-Unis, en Europe et en Asie-Pacifique (hors Japon), selon Dealogic. 

Au 16 décembre, le montant total des opérations de fusion-acquisitions au niveau mondial s'élevait à 3690 milliards de dollars. C'est un recul par rapport à 2015, où il y avait eu pour 4660 milliards de dollars d'opérations, mais cela reste une des années les plus dynamiques à date. Goldman Sachs a conseillé des opérations représentant 919,7 milliards de dollars, soit 25% de part de marché, d'après Dealogic.

Ce résultat est d'autant plus remarquable que Goldman Sachs est passé à côté des deux plus grosses opérations de l'année: le rachat de Time Warner par AT&T pour 108 milliards de dollars, et celui de Monsanto par Bayer pour 66,3 milliards de dollars. Goldman Sachs était toutefois présent sur six des huit plus grosses transactions de l'année restantes.

Voici les classements faits par Dealogic:

Goldman est la première banque d'affaires dans le monde en volume, avec 25% de part de marché.

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Goldman est numéro 1 aux Etats-Unis.

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Et en Europe.

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Et en Asie-Pacifique (hors Japon).

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Goldman a travaillé sur 6 des 10 plus grosses transactions de l'année. 

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Version originale: Matt Turner/Business Insider

Lire aussi : Il y a une raison simple pour laquelle les 4 grandes banques françaises sont absentes du Top 20 des banques conseil en M&A

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Goldman Sachs a remplacé 600 traders par 200 ingénieurs en 16 ans

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Un trader à Wall Street, le 31 janvier 2017. REUTERS/Lucas Jackson

"Un emploi sur dix est automatisable", a déclaré Dominique Guellec, chef de la division des politiques d'innovation à l'OCDE, lors de la présentation des dix technologies qui auront le plus d'impact dans le futur.

La finance a été l'un des premiers secteurs à être touchés par le phénomène. Presque 45% des opérations boursières sont désormais effectuées de façon automatisée, selon l'entreprise britannique Coalition, qui fournit des services analytiques dans le domaine de la finance.

Autre chiffre marquant: en 2000, le bureau de négociation des actions au siège de Goldman Sachs à New York comptait 600 traders, qui achetaient et vendaient des actions pour le compte des gros clients de la banque d'investissement, contre deux seulement aujourd'hui, rapporte le MIT Technology Review

Les 598 autres traders ont été remplacés par des algorithmes maintenus par 200 ingénieurs informatiques. Ces derniers représentent aujourd'hui un tiers des effectifs de Goldman Sachs, soit 9000 salariés.

Interrogé par le MIT Technology Review, Marty Chavez, ex-DSI de Goldman Sachs qui deviendra en avril prochain le directeur financier de la banque, met en avant un ratio intéressant concernant le trading des devises:

"Quatre traders peuvent être remplacés par un ingénieur informatique."

Ce phénomène d'automatisation va continuer à se répandre dans toutes les branches d'activité de la première banque d'investissement mondiale. Y compris dans la division de banque d'investissement à proprement parler, où la plus-value humaine en matière de vente et de relation client prime généralement.

Marty Chavez explique que ces hauts-profils, capables de trouver de nouveaux clients aisés pour faire croître l'activité de la banque d'investissement, ne seront pas tous remplacés mais que certaines tâches courantes (Goldman Sachs en a déjà dénombré 146 différentes) de leur métier pourraient être automatisées. 

Lire aussi : Une majorité de grandes entreprises promet de former les salariés si des robots devaient les remplacer

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Donald Trump commence à rendre les marchés nerveux

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Le président Donald Trump en réunion avec le DG d'Intel Brian Krzanich à la Maison-Blanche, le 8 février 2017. REUTERS/Joshua Roberts

Dans les semaines qui ont suivi l'élection de Donald Trump, on a vu certains thèmes s'imposer en Bourse.

Les investisseurs ont salué la perspective d'une politique tournée vers la dérégulation, le stimulus fiscal et les réductions d'impôts, portant les actions, affaiblissant les obligations et relançant les attentes d'inflation.

Trois semaines après l'entrée en fonction du nouveau président américain, il semblerait que ces thèses commencent à se dissiper. 

Un plateau

L'enthousiasme des marchés qui a suivi l'élection de Donald Trump (et qui n'est pas ce que les analystes avaient anticipé) semble s'éroder depuis son investiture, au fur et à mesure que les investisseurs digèrent les mesures prises par le président.

Les actions commencent à se calmer. Entre l'élection, le 8 novembre 2016, et l'investiture, les indices S&P 500 et Dow Jones ont bondi respectivement de 6,2% et de 8,2%. Depuis l'investiture, le S&P a progressé de 2% et le Dow Jones de 2,3%. 

Même ceux qui devaient profiter le plus de la politique de Donald Trump commencent à faiblir. Goldman Sachs avait bondi de 27,6% entre l'élection et l'investiture, son action n'a gagné depuis que 4,9%. 

Les obligations ont aussi enrayé leur chute qui avait commencé après l'élection. Le rendement des bons du Trésor américain à 10 ans était de 1,8547% le 8 novembre et a grimpé à 2,4468% au 20 janvier (pour mémoire, quand le prix des obligations recule, le rendement augmente). Trois semaines plus tard, le rendement à 10 ans avait légèrement reflué, à 2,4055% vendredi dernier.

Les marchés des devises ont aussi cessé de marcher sur l'effet Trump. Le peso mexicain, qui s'était effondré face au dollar après l'élection de Trump, a repris des forces depuis l'investiture. Le dollar, qui s'était envolé, a de nouveau effacé une part de ses gains face aux principales monnaies mondiales. 

Comme l'ont constaté les journalistes de Bloomberg Luke Kawa et Brian Chappatta, même les attentes d'inflation — qui faisaient continuellement partie de l'effet Trump — ont commencé à fléchir, alors que les investisseurs se demandent si le stimulus fiscal promis par Donald Trump va finalement arriver, ou non.

Si l'intervalle est plus court entre l'investiture et aujourd'hui, nombre de ces mouvements ont plafonné vers mi-décembre, après un regain initial sous Trump. Par exemple, Goldman Sachs n'a bougé que de 2,2% depuis le 30 décembre, deux semaines avant l'investiture, alors que le rendement à 10 ans des bons du Trésor était de 2,444% ce jour-là.

Des préférences politiques

Il semble que l'essentiel de ce ralentissement, d'après quelques uns des plus grands investisseurs, est du à la politique menée par Trump depuis qu'il a pris possession du bureau ovale. 

Après son élection, il était évident que Wall Street et les investisseurs voulaient surtout une chose de Donald Trump: des baisses d'impôts et de la dérégulation. 

En fait, d'après les données de FactSet, lors de leurs conférences téléphonique de résultats trimestriels, 85 sur 317 sociétés cotées au S&P 500 ont mentionné la politique fiscale de Trump. C'est plus que pour toute autre de ses mesures. La régulation est arrivée deuxième avec 63 des sociétés qui la mentionnaient.

Alors que Wall Street espérait des baisses d'impôts et une déréglementation, Trump a préféré signer des ordres exécutifs sur l'immigration et les barrières douanières. Deux mesures considérées par nombre d'économistes comme des freins pour l'économie.

Larry Fink, le patron de BlackRock, le plus grand gestionnaire d'actifs au monde, dit qu'il a "des ombres noires" qui planent sur les marchés, en autres dus aux récentes actions de Trump. Fink dit aussi que les marchés semblent "bipolaires" et il ne serait pa étonné s'il y avait des "revers" pour les actions.

Les géants des fonds de couverture et d'importants investisseurs institutionnels ont aussi révisé leur opinion de Trump, s'inquiétant de ses postures protectionnistes et anti-immigration au lieu de se réjouir de la possibilité de changements fiscaux et réglementaires.

Ray Dalio, le patron de Bridgewater Associates, était d'abord enthousiasmé par les politiques pro-business annoncées par un gouvernement Trump mais après seulement quelques semaines de Trump, il a indiqué dans une lettre à ses clients que son opinion avait évolué.

"Nationalisme, protectionnisme et militarisme augmentent les tensions internationales et les risques de conflit", écrit Ray Dalio dans ce courrier. "C'est pour ces raisons que, bien que nous restons ouvert d'esprit, nous sommes de plus en plus préoccupés par la politique qui émerge de l'administration Trump."

Même si toutes ces mesures font partie du programme annoncé quand il était candidat, l'ordre dans lequel Donald Trump les met en œuvre et le fait qu'il aille jusqu'au bout désarçonne de nombreux investisseurs.

Le coup d'après

Il semble, toutefois, que Donald Trump puisse remettre le cap sur les changements souhaités initialement par les entreprises et les investisseurs.

A l'occasion d'une entrevue avec les patrons de compagnies aériennes, Donald Trump a affirmé avoir pour projet de baisser les impôts sur les sociétés et individuels dans deux à trois semaines. Il a aussi signé des ordres exécutifs enjoignant le département du Trésor et le ministère du Travail de ré-examiner voire de revenir sur la loi Dodd-Frank et sur les textes fixant les obligations des conseillers financiers.

Afin de renouer avec l'effet Trump de l'après-élection, il faudra que la politique soit réorientée vers les mesures qui séduisaient le monde des affaires. Si, au contraire, Donald Trump se concentre sur les mesures anti-immigration, les taxes frontalières, la taille de la foule, et des mensonges sur une fraude électorale inexistante, le rebond Trump pourrait bien avoir fait son temps.

Version originale: Bob Bryan/Business Insider

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Goldman Sachs prédit que Snap dégagera 2 Mds$ de chiffre d'affaires en 2018

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Un investisseur quitte le Mandarin Oriental avec le document d'information sur la prochaine introduction en Bourse de Snap Inc, à New York, le 21 février 2017. REUTERS/Lucas Jackson

Goldman Sachs, une des banques-conseil de Snap pour son introduction en Bourse, estime que le chiffre d'affaires de la société pourrait atteindre près de 2 milliards de dollars en 2018. Soit cinq fois son chiffre d'affaires de l'année dernière. 

Cette information a été transmise à Business Insider par une source qui a été informée des estimations de la banque. Il s'agit des chiffres évoqués par les commerciaux de Goldman Sachs dans leurs entretiens avec de potentiels investisseurs, précise cette source.

Snap a démarré son road show pour rencontrer des investisseurs cette semaine, et une des questions principales porte sur la capacité de l'entreprise, connue surtout pour son appli de photo éphémères Snapchat, à développer sa base d'utilisateurs. Goldman Sachs estime que la société pourrait voir le nombre d'utilisateurs actifs par jour passer à 221 millions en 2018, contre 158 millions l'an passé, dit cette même source. 

 

Snap Inc. IPO filing

L'introduction en Bourse devrait être l'une des plus importantes du secteur de la tech. Snap vise une valorisation qui pourrait atteindre 22 milliards de dollars et devrait lever jusqu'à 3,2 milliards de dollars dans l'opération.

Ce bond de près de 40% en deux ans serait un ralentissement de sa croissance en nombre d'utilisateurs. Au quatrième trimestre 2016, par exemple, Snap dit avoir recruté 48% de nouveaux utilisateurs par rapport à la même période un an plus tôt. C'est le taux de croissance le plus faible sur les 12 mois pour lesquels Snap a donné des résultats. 

Il faut examiner ces chiffres en gardant aussi à l'esprit que Goldman Sachs est une des banques qui vend l'opération aux investisseurs. Néanmoins, l'objectif estimé de 2 milliards de dollars de chiffre d'affaires correspond à celui fixé par d'autres analystes — dont James Cordwell d'Atlantic Equities, qui fait une recommendation "neutre" sur l'action.

Voici les projections de Goldman Sachs comparées aux chiffres de 2016: 

  • Chiffre d'affaires 2016: 404 millions de dollars
  • Chiffre d'affaires estimé 2018: 1,959 milliard de dollars
  • Utilisateurs actifs par jour 2016: 158 millions
  • Utilisateurs actifs par jour estimés 2018: 221 millions

Snap a pris la route la semaine dernière pour son road show officiel auprès d'investisseurs potentiels et doit proposer ses actions au marché à compter du 1er Mars.

La direction de Snap a rencontré des investisseurs à New York mardi et doit visiter plusieurs autres villes dans la semaine, d'après des invitations que Business Insider a pu consulter.

Version originale: Rachael Levy/Business Insider 

Lire aussi : Voici les 9 pays les plus actifs sur leur page Facebook officielle en 2016

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Goldman Sachs prévoit d’exfiltrer ses salariés avant le Brexit pour ne pas se laisser surprendre

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Londres, City,

La City de Londres. REUTERS/Toby Melville

Le 29 mars prochain la Première ministre britannique Theresa May déclenchera le compte à rebours de deux ans pour trouver un accord sur le Brexit.

Mais Goldman Sachs n'a pas l'intention de s'aligner sur l'agenda politique britannique pour débuter le transfert d'une partie de ses salariés, a déclaré à CNBC son DG pour l'Europe Richard Gnodde ce mardi 21 mars 2017.

"On ne peut pas compter dessus alors il nous faut avoir nos plans de secours et c'est ce qu'on commence à exécuter [...] Pour cette première période (...), on parle de quelques centaines de personnes tout au plus."

Dans le détail, la banque américaine, qui emploie la majorité de son personnel européen au Royaume-Uni, soit environ 6000 personnes, va recruter en Europe continentale, transférer des collaborateurs en dehors de Londres et investir pour améliorer et agrandir ses infrastructures et technologies pour préparer la période post-Brexit.

Richard Gnodde n'a pas précisé quelles capitales européennes (Paris, Francfort, Bruxelles, Dublin...) pourraient profiter de cette délocalisation.

Certains lobbyistes et politiques français — dont le candidat à la présidentielle Emmanuel Macron — espèrent qu'avec le Brexit, l'Hexagone pourra récupérer une partie des emplois de la finance londonienne.

Colm Kelleher, le président de Morgan Stanley, a également déclaré mardi 21 mars 2017 que la banque américaine n'allait pas attendre la fin des négociations pour le Brexit pour entamer la délocalisation d'une partie de ses salariés londoniens, a rapporté Business Insider US.

La banque HSBC a été la première à annoncer en janvier dernier qu'elle déplacera environ un millier d'emplois de Londres à Paris d'ici deux ans à cause du Brexit.

Selon Reuters, Lloyds — la seule banque britannique qui n'est pas présente dans d'autres pays de l'UE — envisage d'ouvrir une filiale en Allemagne, tandis que JP Morgan a récemment affirmé que le nombre d'emplois délocalisés de Londres serait plus important que prévu. La banque américaine avait déjà avancé le nombre de 4000 postes affectés en juin 2016.

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Voici le classement mondial des banques d'investissement de Wall Street par activité

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Jamie Dimon, JPMorgan

Jamie Dimon, DG de JPMorgan. Wikimedia Commons/Steve Jurvetson

Le cabinet d'analyses spécialisé Coalition a publié son classement mondial des activités de banques d'investissement en 2016, et il y a clairement un vainqueur.

JPMorgan était en tête du peloton l'année dernière, en termes de revenus tirés des activités de marché, de conseil en fusions-acquisitions et des autres activités de banque de financement et d'investissement, selon les données de Coalition.

JPMorgan est aussi premier ou premier ex-aequo dans les différentes zones géographiques, et premier ou second dans 12 des 14 activités étudiées. La banque a généré 25,2 milliards de dollars de revenus en 2016. 

Goldman Sachs et Citigroup sont arrivés deuxièmes ex-aequo sur l'ensemble des activités. 

Goldman Sachs est arrivé premier sur les matières premières dans les activités de taux fixes, devises et matières premières (fixed income, currencies and commodities, FICC). La banque est aussi numéro un ex-aequo sur les contrats à terme, ainsi que sur les fusions-acquisitions dans l'activité de banque d'investissement.

Citigroup est remonté dans le classement — après avoir fini 2015 en troisième position — grâce à une solide performance dans les activités FICC. La banque arrive deuxième dans ce domaine derrière JPMorgan, et s'est placé, dans la catégorie FICC, à la première place sur les marchés émergents et la finance locale. 

Voici le classement mondial des banques d'investissement de Wall Street suivi des classements par zone géographique:

JPMorgan est clairement le vainqueur avec une place sur le podium dans toutes les activités sauf une. 

Coalition

JPMorgan est aussi en tête ou en tête ex-aequo dans les trois grandes régions: Amériques, Europe/Moyen-Orient/Afrique (EMEA), et Asie-Pacifique (APAC).

Coalition

Version originale: Portia Crowe/Business Insider

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Une banque pourrait proposer 700M€ à L'Oréal pour son enseigne de cosmétiques The Body Shop qui n'a jamais décollé

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Goldman Sachs envisage de soumettre une offre de 600 millions de livres (703 millions d'euros) sur The Body Shop, la chaîne de magasins mise en vente par L'Oréal, rapporte lundi Sky News.

La banque Lazard avait été mandatée en début d'année pour étudier les options offertes à L'Oréal qui espérerait 1 milliard d'euros.

Une première date butoir pour la remise des offres est fixée pour ce vendredi, ajoute la chaîne d'information britannique.

Des sources proches du dossier avaient déclaré le mois dernier à Reuters que la chaîne spécialisée dans les produits à base d'ingrédients naturels intéressait les fonds de capital-investissement Bain Capital, BC Partners, CVC et Advent.

Sky News cite pour sa part les fonds Advent, Apax Partners, Carlyle et CVC comme étant sur les rangs.

Un porte-parole de Goldman s'est refusé à tout commentaire, ajoute la chaîne sur son site internet.

Le chiffre d'affaires de The Body Shop, qui compte quelque 3000 magasins dans 66 pays, a baissé de 5% l'an dernier. L'enseigne ne pèse que 3,6% des revenus mondiaux du groupe,

Acquis il y a 11 ans pour 945 millions d'euros, The Body Shop n'a jamais décollé au sein de L'Oréal, qui avait alors misé sur l'essor de la demande pour les produits à base d'ingrédients naturels.

Lire aussi : Luc Besson explique comment il a travaillé avec Rihanna: 'C'est la reine'

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Voici les 29 entreprises préférées des étudiants en école de commerce en France

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REUTERS/Jacky Naegelen

Le cabinet d'études international Universum vient de publier son classement des employeurs les plus attractifs en France pour les étudiants.

Cette année, 41.329 étudiants issus des grandes écoles françaises de commerce et d’ingénieurs ont répondu au questionnaire, dévoilant leurs aspirations, objectifs de carrière, secteurs favoris et employeurs idéaux.

Les résultats de l’étude et les mouvements dans les classements mettent en avant deux grandes tendances, selon le rapport:

  • l'attractivité des entreprises françaises dans des secteurs comme l'aéronautique et l'automobile;
  • le choix de petites d'entreprises innovantes et à la croissance rapide comme BlaBlaCar ou Michel et Augustin.

Voici les 29 premières entreprises du classement des entreprises préférées des élèves des écoles françaises de commerce.

29. BlaBlaCar — La startup de covoiturage gagne une place par rapport à 2016.

BlaBlaCar.

28. Printemps — La chaîne française de grands magasins conserve le même rang.

27. PWC — Le cabinet d'audit perd deux places.

Pwc Oslo 

26. HSBC — La banque gagne trois places auprès des étudiants français en école de commerce.

Les bureaux de HSBC à Paris. REUTERS/Gonzalo Fuentes 

25. BNP Paribas — La banque progresse comme HSBC, mais d'une place.

Hello Bank par BNP Paribas à Lille. Facebook/BNP Paribas Recrute 

24. Airbus Group — Le groupe aéronautique gagne trois places.

Lanceurs Airbus Safran. Facebook/Safran

23. Ubisoft — L'éditeur de jeux vidéo français est en progression d'une place. 

Des visiteurs jouent à Just Dance, édité par Ubisoft lors de la Paris Games Week. REUTERS/Benoit Tessier 

22. Microsoft — Le groupe américain occupe la même position qu'en 2016.

Satya Nadella, Microsoft

Satya Nadella, DG de Microsoft. REUTERS/Shailesh Andrade 

21. J.P. Morgan —Statu quo pour la banque américaine.

20. Amazon — Première surprise, le géant américain de la distribution fait son entrée dans le classement. 

Russ Grandinetti, SVP international consumer d'Amazon, dans les bureaux de Souq.com à Dubaï, le 28 mars 2017. REUTERS/Ahmed Jadallah 

19. AccorHotels — Le groupe hôtelier français multiplie les rachats. Il gagne quatre places en terme d'attractivité auprès des étudiants français en école de commerce.

Un hôtel proposé par VeryChic à Eloúndai en Grèce. AccorHotels vient de racheter le site. Facebook/VeryChic 

18. Deloitte — Le cabinet d'audit et de conseil perd une place par rapport à l'an dernier.

Robert Hertel/flickr

17. Coca-Cola Enterprises — L'embouteilleur possède cinq usines en France et y emploie 2600 personnes. Il sort du top 10 en perdant sept places.

16. Michel et Augustin — La marque française de produits alimentaires fait une entrée remarquée dans ce classement. 

15. Groupe Canal + — Le groupe audiovisuel perd en attractivité auprès de la jeune génération: il dégringole de neuf places. 

14. KPMG — Le cabinet d'audit perd une place.

13. McKinsey&Company — Le cabinet en stratégie de renommée internationale progresse de trois places en 2017.

Eric Hazan, directeur associé senior chez McKinsey & Company en France. Flickr.com/OFFICIAL LEWEB PHOTOS 

12. Boston Consulting Group — Le cabinet international de conseil en stratégie vient de nommer le mathématicien Cédric Villani conseiller scientifique de BCG Gamma, son entité dédiée au Big Data.

11. Goldman Sachs — La banque américaine gagne trois places dans ce classement lui permettant de flirter avec le top 10 des employeurs préférés des étudiants en école de commerce.

Goldman Sachs, Lloyd Blankfein

Le PDG de Goldman Sachs Lloyd Blankfein. John Moore/Getty Images 

10. EY — Le cabinet d'audit perd une place en un an.

Mark A. Weinberger, PDG de EY Monde. Facebook/EY 

9.  Danone — L'industriel de l'agroalimentaire recule mais reste dans le top 10.

8. Disneyland Paris — Le parc d'attractions attire les étudiants pour y travailler: il fait un bond de quatre places.

7. Nestlé — Le numéro 1 mondial de l'agroalimentaire reste à la 7e place du classement.

6. Air France — La compagnie aérienne progresse de cinq places et fait une entrée remarquée dans le top 10 de 2017.

REUTERS/Philippe Wojazer 

5. Apple — Le groupe américain descend d'une place au classement.

Apple

REUTERS/Ginnette Riquelme 

4. Chanel —La marque de luxe échange sa place avec la marque à la pomme pour se tenir derrière l'habituel trio de tête.

3. L'Oréal Group — Le numéro 1 mondial des produits cosmétiques occupe la même place qu'en 2016.

2. Google — En France, le groupe américain emploie plus de 600 personnes dont une centaine d'ingénieurs.

1. LVMH — Le groupe de luxe est à nouveau en tête de ce classement. Dirigé par Bernard Arnault, propriétaire des marques Céline, Fendi, Moët et Chandon ou encore Bulgari, il compte plus de 125.000 salariés à travers le monde.

REUTERS/Jacky Naegelen

Lire aussi : Le smartphone va disparaître un jour — après, tout est possible

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Goldman Sachs a choisi 2 villes pour répartir ses employés londoniens après le Brexit

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Dublin

Dublin (Irlande). Pixabay.com

En mars dernier, Goldman Sachs avait annoncé qu'elle n'attendrait pas la fin des négociations du Brexit pour débuter l'exfiltration d'une partie de ses employés londoniens, mais n'avait pas révélé de point de chute.

C'est désormais chose faite: Lloyd Blankfein, DG de la banque américaine qui emploie environ 6500 personnes au Royaume-Uni, a annoncé ce vendredi 5 mai 2017 à la BBC le renforcement de son implantation à Francfort (Allemagne) et à Dublin (Irlande), en raison des risques liés au Brexit.

Malgré le gros lobby exercé depuis le début de l'année par Europlace, qui espérait qu'environ 20.000 banquiers quitteraient Londres pour s'installer à Paris, la capitale française n'a pas été sélectionnée.

Interrogé sur une éventuelle perte d'influence de la place financière londonienne après trois décennies d'expansion, Lloyd Blankfein a déclaré à la BBC: "Je ne pense pas que cela va totalement se retourner."

"Elle va caler, elle pourrait revenir un peu en arrière, cela dépend simplement de beaucoup de choses sur lesquelles nous n'avons pas de certitudes et je sais qu'il n'y a pas de certitude pour le moment", a-t-il précisé.

Beaucoup d'établissements financiers dans l'UE ont prévu de relocaliser une partie de leurs effectifs londoniens dans d'autres villes européennes, par peur de la perte des droits liés au passeport financier à cause du Brexit

Voici ce que nous savons concernant les principaux transferts préparés par les établissements financiers en vue du Brexit:

  • JPMorgan a annoncé en début de semaine qu'elle allait "utiliser les trois banques que nous avons déjà en Europe comme points d'ancrage de nos activités", autrement dit, à Francfort, à Dublin et au Luxembourg, rapporte La Tribune.
  • Lloyds — la seule banque britannique qui n'est pas présente dans d'autres pays de l'UE — envisage d'ouvrir une filiale en Allemagne, selon Reuters.
  • Dès janvier dernier, la banque HSBC a annoncé qu'elle déplacera environ 1000 emplois de Londres à Paris d'ici deux ans.
  • Barclays va transférer 150 salariés de Londres à Dublin, selon Bloomberg.

Lire aussi : Voici 3 raisons pour lesquelles 20.000 banquiers londoniens pourraient s’installer à Paris plutôt qu'à Francfort, selon un lobby de la finance

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BNP Paribas est l'investisseur principal d'un tour de table de 63 M$ dans la messagerie en ligne cryptée des traders

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David Gurlé, Dg de Symphony. © Symphony

Symphony, une startup qui édite une messagerie en ligne sécurisée pour les entreprises, vient de lever 63 millions de dollars (56,6 millions d'euros), notamment auprès de BNP Paribas — investisseur principal.

La banque française obtient un siège au conseil d'administration.

Utilisée notamment par les plus grandes banques de Wall Street, elle a été créée en 2012 par le Français David Gurlé, 48 ans, ancien haut dirigeant de Skype.

Basée à Palo Alto, Symphony a annoncé que la banque française était accompagnée dans ce tour de table par les actuels actionnaires, dont Google et de multiples acteurs de la finance comme Natixis, Société Générale, Goldman Sachs, HSBC, Bank of America Merrill Lynch, Citigroup, Credit Suisse, Deutsche Bank, Jefferies, Wells Fargo et Morgan Stanley.

"La transformation numérique est au cœur de la stratégie de BNP Paribas Global Markets, et la collaboration avec les fintechs est une part cruciale de ce processus", a déclaré Olivier Osty, head of global markets, de BNP Paribas, cité dans un communiqué.

BNP a annoncé en février qu'il prévoyait de doubler ses investissements dans la technologie, à 3 milliards d'euros, dans les trois prochaines années pour s'adapter aux changements de comportements des consommateurs et réduire ses coûts.

Symphony revendique 200.000 utilisateurs payants à travers le monde — surtout dans la finance. Elle vient directement concurrencer les terminaux Bloomberg — indispensables dans les salles de marchés — en regroupant dans une même interface cryptée différents moyens de communication, des emails aux appels téléphoniques. Discuter en ligne en salle des marchés devient sécurisé.

Prendre la place de Bloomberg

Elle est souvent comparée au 'Slack' de la finance du nom de cette messagerie en ligne utilisée par les professionnels, valorisée désormais près de 4 milliards de dollars.

Selon TechCrunch, la valorisation de Symphony serait désormais d'un milliard de dollars, après avoir levé plus de 200 millions de dollars depuis son lancement.

Pour David Gurlé, "ce financement est une reconnaissance de la valeur que nos clients ont connu à mesure que la communauté Symphony augmente", indique-t-il dans un communiqué.

Symphony devrait utiliser cet argent pour notamment accélérer son expansion en Europe malgré le lobby de Bloomberg pour l'en empêcher.

Bloomberg propose des terminaux qui permettent aux traders d'obtenir des informations en temps réel issues des places financières tout en pouvant également discuter en ligne.

Mais l'investissement des banques de Wall Street en 2014 dans Symphony a été perçu comme un effort conscient pour échapper à la dépendance aux terminaux de Bloomberg après le scandale en 2013 qui révéla que les journalistes de Bloomberg pouvaient voir ce que les clients lisaient sur leurs terminaux.

Version originale: Oscar Williams-Grut/Business Insider

Lire aussi : Le nombre de banquiers en France qui gagnent plus d'1M€ a grimpé en 2016 — mais cette hausse cache une autre réalité

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VIDEO: Voici les premiers petits boulots de grands businessmen

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Le marché français des fusions-acquisitions se porte bien — voici les 10 banques qui en profitent le plus

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Carlos Tavares, président du directoire du groupe PSA Peugeot Citroen, à Paris, a été conseillé par Morgan Stanley pour le rachat d'Opel, elle-même conseillée par Citi et BNP Paribas. REUTERS/Gonzalo Fuentes

Profitant d'une embellie sur le front de la conjoncture économique en Europe et rassurées par l'issue du scrutin présidentiel en France, les entreprises françaises ont accéléré leurs fusions-acquisitions (M&A) depuis le début de l'année.

Les transactions en France ont progressé de 44% en valeur au premier semestre pour atteindre 128, 1 milliards de dollars (112,1 milliards d'euros), selon des données de Thomson Reuters rapportées par Les Echos.

A l'image d'Essilor qui négocie le rachat de l'italien Luxottica, de Suez qui a repris GE Water ou de Legrand avec l'acquisition de l'Américain Milestone AV Technologies, les entreprises françaises se aussi sont montrées très offensives à l'international depuis le début de l'année.

Les acquisitions menées par des entreprises françaises à l'étranger ont été cinq fois plus importantes que l'an dernier sur le premier semestre 2017, totalisant 48,7 milliards de dollars (42,6 milliards d'euros), 

Le marché est donc porteur et lucratif pour les banques d'affaires, ces intermédiaires qui facilitent et organisent ces opérations.

L'une d'elle tire particulièrement bien son épingle du jeu, distançant déjà largement ses concurrentes.

Voici les 10 premières banques d'affaires impliquées dans des fusions-acquisitions avec des entreprises françaises (en milliards de dollars de transactions gérées).

10. Bank of America Merrill Lynch — 14,6 milliards de dollars

La banque BofA ML est intervenue dans le rachat de Zodiac par Safran. REUTERS/Regis Duvignau

9. Natixis — 19,2 milliards de dollars

8. Société générale —23,5 milliards de dollars

Société générale

REUTERS/Gonzalo Fuentes

7. Lazard — 28,5 milliards de dollars

Matthieu Pigasse, directeur général de Lazard France. YouTube/On n'est pas couché

6. Mediobanca — 28,5 milliards de dollars

Mediobanca a participé au rachat de l'Italien Luxotica par le Français Essilor. REUTERS/Alessandro Bianchi

5. Goldman Sachs —  29,7 milliards de dollars

Lloyd Blankfein, PDG de Goldman Sachs. YouTube/New York Times Conferences

4. Crédit Agricole CIB — 32,9 milliards de dollars

3. BNP Paribas — 49 milliards de dollars

BNP Paribas a conseillé Opel pendant l'acquisition par PSA Peugeot Citroen. Ci-dessus: Carlos Tavares, président du directoire du groupe PSA Peugeot Citroen. REUTERS/Gonzalo Fuentes

2. Citi — 50,8 milliards de dollars

1. Rothschild & Co — 61,5 milliards de dollars

La banque Rothschild a conseillé Vivendi dans le rachat des parts de Vincent Bolloré dans Havas. REUTERS/Jean-Paul Pelissier

Lire aussi : Le spécialiste français de l'hébergement de sites internet persuade JP Morgan et plusieurs banques de lui prêter 400M€ pour financer ses datacenters

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Les traders de Goldman Sachs n’ont pas fait assez d'argent ce trimestre — l’action chute en bourse

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Lloyd Blankfein, PDG de Goldman Sachs. YouTube/New York Times Conferences

Goldman Sachs a annoncé mardi une chute de 17% de ses revenus du trading au deuxième trimestre.

Ce mauvais résultat est notamment dû aux revenus de son activité de trading sur le marché obligataire, qui ont chuté de 40%, à 1,16 milliard de dollars.

La cinquième banque du pays par ses actifs est généralement plus dépendante des marchés de taux que ses rivales.

Ce contexte de faible activité sur le marché obligataire a pesé sur les résultats de l'ensemble des grandes banques américaines.

La banque d'affaires et d'investissement américaine a réalisé sur la période avril-juin un bénéfice net, part du groupe, de 1,63 milliard de dollars (1,41 milliard d'euros), quasiment inchangé par rapport à la même période de 2016.

Le bénéfice par action en revanche a augmenté à 3,95 dollars, contre 3,72 dollars un an plus tôt, en raison d'une réduction de 6% du nombre de titres.

Les analystes prévoyaient en moyenne un bénéfice par action de 3,39 dollars selon Thomson Reuters I/B/E/S mais il n'était pas possible dans l'immédiat de déterminer si le résultat publié correspondait exactement au consensus.

Le produit net bancaire (PNB) du groupe a diminué de 0,6% à 7,89 milliards de dollars sur le trimestre, alors que les analystes l'attendaient à 7,52 milliards de dollars.

En avant-Bourse, l'action de Goldman Sachs cédait 0,8% à 227,35 dollars.

La banque rivale Morgan Stanley publiera à son tour ses comptes mercredi.

Lire aussi : GOLDMAN SACHS: 4 transitions clés à surveiller en 2017

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Dropbox prépare son introduction en bourse avec Goldman Sachs

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Drew Houston, DG de Dropbox. Flickr.com/Web Summit

Dropbox se rapproche de son introduction en bourse (IPO), et travaille en ce moment avec Goldman Sachs pour la préparer, d'après Bloomberg.

Le service d'hébergement, valorisé à 10 milliards en 2014, est proche de faire de Goldman Saches son conseil principal pour son IPO, qui pourrait arriver dans l'année.

Goldman Sachs n'a pas souhaité apporter de commentaire à nos confrères de Business Isider US. Dropbox n'a pas immédiatement répondu.

En juin dernier, on apprenait que Dropbox cherchait des souscripteurs, et allait recevoir des banques d'investissement en juillet.

Version originale: Becky Peterson/Business Insider

Lire aussi : Dropbox passe le cap du milliard de dollars de chiffre d'affaires récurrent

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Vivendi décolle en Bourse après des résultats portés par le streaming — un marché qui pèsera 28 Mds$ en 2030 selon Goldman Sachs

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Le titre Vivendi s'adjuge la plus forte progression du CAC40 vendredi, le spécialiste des médias et des contenus ayant fait état de résultats trimestriels supérieurs aux attentes, notamment de sa filiale Universal Music Group, et confirmé ses prévisions financières pour 2017.

A 15h20, l'action grimpe de 4,90% à 20,22 euros, sa plus forte hausse en une séance en quatre mois.

Capture d'écran Investing.com. Investing.com 

Le géant des médias a fait état d'une hausse de 6,2% de son chiffre d'affaires au deuxième trimestre à 2,77 milliards d'euros tandis que son résultat opérationnel ajusté a progressé de 17,1% à 203 millions.

Plusieurs intermédiaires financiers saluent en particulier les très bons résultats trimestriels de la maison de disque Universal Music Group (UMG), qui profite de la croissance du streaming et d'un recul modéré des ventes de disques physiques.

Le streaming a transformé l'industrie musicale après une décennie de crise. La banque Goldman Sachs estime dans son dernier rapport, relevé par Variety, que  le marché du streaming va atteindre 28 milliards de dollars en 2030 contre 8 millions d'euros selon les chiffres disponibles. Le streaming représentait en 2016 la moitié des revenus de l'industrie de la musique dans le monde selon la Fédération de l'industrie phonographique..

De 200 millions d'utilisateurs de streaming en 2017, Goldman Sachs table sur 847 millions en 2030.

Kanye West est un artiste Universal Music Group. YouTube/HollywireTV

Un phénomène dont pourrait continuer de fortement tirer profit Universal qui toucherait— avec l'autre principal label Sony Music — "55 à 60% des royalties sur chaque morceau montéisé en ligne", écrit Goldma Sachs — loin devant Amazon, Pandora, Tencent, Apple, Spotify et, dans une moindre mesure, YouTube, autres bénéficiaires de cette croissance.

Dans ce cadre, Goldman Sachs a revu sa valorisation d'UMG à 23,5 milliards de dollars (+12% par rapport à décembre 2016) devant Sony.

Les analystes de Barclays notent que la filiale a dégagé "une meilleure croissance organique que ses concurrents mettant fin à une longue période de sous-performance".

Vivendi envisage une introduction en Bourse pour universal dont l'Ebita a bondi de 58,4% à 286 millions d'euros au premier semestre. 

Lire aussi : GRAPHIQUE DU JOUR: Spotify franchit le cap des 60 millions d'abonnés — et n'est pas prêt de se laisser rattraper

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Goldman Sachs pulvérise le consensus au T3

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Un trader de Goldman Sachs au New York Stock Exchange (NYSE). REUTERS/Lucas Jackson

Goldman Sachs vient de publier ses résultats pour le troisième trimestre 2017 et a annoncé un bénéfice par action de 5,02$, pulvérisant le consensus de 4,17$ attendu par les analystes.

Le revenu du trading obligataire de la banque d'affaires américaine a reculé de 26%, conséquence d'une moindre volatilité des marchés, mais il est bien meilleur que ce que les analystes projetaient. Au deuxième trimestre, ce revenu avait chuté de 40%.

Ce recul est du même ordre que celui de ses concurrents: Morgan Stanley affiche une baisse de -20% et JPMorgan Chase de -27%.

Le produit net bancaire (PNB) a progressé de 2% à 8,33 milliards de dollars, contre 7,54 milliards attendus, grâce à la banque d'investissement et à l'activité de prêt.

Le revenu FICC (obligations, changes, matières premières) chute à 1,45 milliard de dollars ce trimestre.

Le revenu tiré des prêts et de l'investissement a bondi de 34,7% à 1,88 milliard de dollars, tandis que celui tiré de la banque d'investissement a augmenté de 16,9% à 1,80 milliard de dollars.

L'action perdait 1,5% à 238,75 dollars en matinée à Wall Street.

Lire aussi : Le bitcoin se fait démolir

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